Né en 1966, Fabrice Dalongeville demeure à Auger-Saint-Vincent depuis plus de 30 ans. Après des études secondaires au Lycée Mireille Grenet de Compiègne, il poursuit des études supérieures d’histoire-géographie à Lille 3 puis rejoint rapidement la Sorbonne Paris IV. Après sa maitrise, il s’oriente vers le métier de journaliste et se forme au Centre de Perfectionnement des Journalistes de Paris.
Fabrice Dalongeville démarre son métier de journaliste dans la presse de l’Oise (Le Parisien, co-fondateur de Oise Hebdo) puis rejoint un groupe de presse high tech en 1995. Il y occupe différentes fonctions, du poste de rédacteur à celui de rédacteur en chef. En 2008, après de multiples plans de restructuration depuis l’éclatement de la bulle internet en 2001, il quitte la presse parisienne pour progressivement évoluer vers le métier de consultant en communication. Il crée FD Communication.
Après avoir repris des études à l’IEP d’Aix-en-Provence en 2013 et obtenu un master 2 en intelligence économique, il évolue encore et se spécialise dans le développement et la transition des territoires, notamment ruraux. Il collabore régulièrement avec le cabinet de conseil CoManaging.
En parallèle à sa carrière professionnelle, il a très tôt été engagé dans la vie publique en étant élu conseiller municipal d’Auger-Saint-Vincent au printemps 2001. Il occupera la fonction de premier adjoint à la suite de cette élection pour devenir maire dès mars 2004.
Outre cette fonction, Fabrice Dalongeville a également l’expérience d’un autre mandat : il est élu au Conseil régional de Picardie en 2010 dans une majorité de gauche. En charge du tourisme, ce mandat s’achèvera en 2016. Opposé à la fusion de la Picardie avec le Nord-Pas de Calais, il se mettra en retrait de l’engagement partisan.
Outre son engagement municipal, il est impliqué dans l’Association des Maires Ruraux de France en étant le président de l’association du département de l’Oise. C’est à la suite de l’opération « Mairie Ouverte » qu’il animera en 2018 dans l’Oise qu’il s’engage pour rendre publique les doléances. Cinq ans plus tard, l’engagement ne faiblit pas.